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La psychologie est une connaissance qui comporte plusieurs aspects d’application. En général, elle étudie le comportement, les émotions et la expérience. Dans certains régions, les psychologues guident les gens dans le but de produire une meilleure qualité de vie. Mais qui les guide pour eux ? Suivent-ils eux aussi une psychothérapie ? La psychologie est une profession qui s’avère être associée à plusieurs mythes. Les psychologues sont-ils fous ? Comment les thérapeutes peuvent-ils avoir des problèmes ? Seules les personnes qui ne sont effectivement pas bien dans leur tête vont auprès d’un psychologue. On connaît même la phrase classique que de nombreux professionnels de ce domaine ont entendue étant donné que un chant à une critique : « par contre vous êtes un psychologue ».On peut parcourir un dentiste pour colmater une pointe ou pour une douleur, mais le ou la dentiste ou l’hygiéniste dental qui va nous avoir va immédiatement tenter de nous donner conscience de la aucunement de notre manigance. Bien sûr, ils vont accepter de colmater notre pointe, mais surtout, leur mission sera d’optimiser en «amont», pour nous alimenter connaissance des problématiques liés à la prévention. Par des solutions de correspondance subtiles, comme la coup et le aggravation, ils chercheront à nous alimenter conscience de nos mauvaises pratiques. Petit à petit, nous serons obligés à à chercher par nous même une façon de changer nos pratiques. C’est à ce niveau que les compétences curatives en dentisteries deviennent principales.Ainsi, comme tout autre homme, ils peuvent avoir de grandes motivations, des qualités qu’ils recherchent valoriser, des difficultés à faire face aux soucis. Bref, ils peuvent percevoir de préjugés ou connaître des pratiques qui sont mieux gérés avec l’aide d’un psychologue. D’une façon générale, on constate que la psychothérapie s’adresse à ceux qui éprouvent l’envie d’approfondir, d’améliorer et de réaliser les aspects de leur fonctionnement liés à la intuition, l’affectivité et l’irritabilité. En outre, dès lors que certains formes de leur fonctionnement sont altérés, mieux vaut demander l’aide d’un pro ; lorsque nous nous sentons détriment, nous allons chez le médecin ou lorsque nous voulons tenir tête à un diagnostic, nous allons voir un avocat.Selon le travail publié dans Dialogues in Clinical Neuroscience, les études près de la TCC conclut à son efficacité authentique pour les soucis liés à l’anxiété, notamment les troubles paniques, les soucis méfiant généralisés, les troubles d’anxiété sociale, les troubles obsessionnels compulsifs et le marque de stress post-traumatique. Dans l’ensemble, la TCC prouve à la fois son productivité dans les essais vérifiés randomisés et son efficacité dans des domaines naturalistes entre les patients atteints d’angoisse et les thérapeutes. ( 4 ) Les chercheurs ont noté que la TCC fonctionne bien étant donné que un calmant naturel pour l’incertitude, car elle recense plusieurs combinaisons des solutions suivantes : psychoéducation sur la nature de la peur et de le désarroi, auto-surveillance des symptômes, actions somatiques, reconfiguration cognitive ( par exemple déconfirmation ), L’image et l’exposition in vivo aux provocations craints ( protocole de traitement de l’exposition ), le sevrage des signaux de sûreté inefficaces et la prévention des rechutes.Le job de psychologue du en établissement physique réserve bien des stupéfaction. Loin de la photographie de « fondamental » guérisseur, il a divers lacet à son cambrure : avertir les risques psychosociaux, soutenir les intimes soignants à retrouver un équilibre et à pratiquer leur job calmement, entraîner un environnement acile au bien-être… De quoi offrir hâte d’aller au-delà des idées reçues ?Ces démarches pourraient tout à fait traiter très loin du marque le plus evident : on commence une psychothérapie en raison d’un problème au travail et on se rencontre à suivre un manque affectueux. Certains des supports classiques des thérapies de psychanalyse sont l’association verbale facile, l’analyse des rêves, l’instruction d’un journal personnel ainsi que la prise en compte des phénomènes de transfert, ce qui signifie la projection de besoins ou de situations inconscientes du clientèle vers son thérapeute. Certaines difficultés spirituels peuvent être liées, ainsi, à des pensées ou à des comportements inadéquats qu’on a appris ou adoptés – souvent contre sa volonté. Ils peuvent s’apparenter à des réactions « incontrôlables » qui surgissent automatiquement en quelques conditions ( dès que j’ai repéré un schupo, je me sens fautif; si je n’ai pas d’amoureux, je ne vaux plus rien, etc. ) Les thérapies cognitives et comportementales ( TCC ) proposent d’observer objectivement et d’analyser avec désintéressement ces comportements et ces conçues, d’apprendre des comportements et de remplacer les pensées ou les émotions non désirées par d’autres qui sont davantage adaptées. On cherche des problèmes favorables à trouver une solution à et une démarche thérapeutique est se trouvant en commun ( déconditionnement croissant, épuration des principes harmonieux de protection, variations des croyances, etc. ).
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